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14 septembre 2021 2 14 /09 /septembre /2021 16:54

« Big Reset », mondialisme et baisse tendancielle du taux de profit.

 

 

Je compare la situation actuelle à une guerre. Guerre menée par une oligarchie mondialiste, une classe capitaliste dominante, contre les peuples — et pas seulement contre le peuple français, mais contre l’ensemble de peuples constitués et surtout des états-nations que cette oligarchie a décidé de briser.

Cette guerre est une guerre dont le but affiché est la destruction. Destruction des économies, des peuples et des populations dont le nombre est jugé excessif par les maitres du monde. 

Les raisons de cette guerre et ses buts : la Baisse Tendancielle du Taux de Profit ou "BTTP" en abrégé.

 La Baisse Tendancielle du Taux de Profit est un phénomène inhérent au système capitaliste, décrit par Karl Marx dans le volume III du Capital. C'est une caractéristique consubstantielle à la nature-même du capitalisme, qui avait déjà été décrite par certains économistes britanniques comme Smith ou Ricardo, mais que Marx a expliqué et développé avec une grande précision.

Les marchandises produites par les entreprises étant en concurrence, chaque entreprise cherche à en réduire la valeur, dans le but de conquérir de plus grandes parts de marché. Réduire la valeur d’une marchandise, c’est réduire le temps de travail nécessaire pour la produire, et donc le coût de la main d'œuvre.  

Le principal moyen de réduire le temps de travail humain nécessaire à la production d’une marchandise, est d’en automatiser la production.

L’automatisation de la production entraîne des investissements de machinerie de plus en plus coûteux et importants.

Le premier effet de la BTTP est donc la nécessité d'investir des capitaux de plus en plus volumineux, pour produire des marchandises dont la valeur, se réduit constamment. Cela ne peut générer des bénéfices que si le marché augmente en des proportions suffisantes pour compenser et dépasser la baisse de valeur des marchandises. C’est ce qui a été constaté, notamment durant les périodes de forte croissance des pays industrialisés, particulièrement occidentaux, au cours des "trente glorieuses", juste après la Seconde Guerre Mondiale, entre 1950 et 1980. Ce système a bien fonctionné pendant une trentaine d’années, les salaires ayant été en constante augmentation grâce aux pressions syndicales et politiques, dans un contexte de guerre froide et de peur du « communisme ». Tant que les producteurs pouvaient consommer ce qu’il produisaient, la machine ronronnait, contredisant Marx sur un autre phénomène inhérent au capitalisme, qu’il avait appelé la "paupérisation" (ou appauvrissement) des producteurs.

Les syndicats et l’URSS ont fait beaucoup pour le succès des entreprises de productions capitalistes.

Le « communisme » disparu, la pression sur les salaires pouvait se faire plus vive, car la BTTP étant inexorable, il fallait bien faire baisser la masse salariale, et ce d’autant plus que pour certains pays comme la France, les salaires sont accompagnés de charges importantes, liées à l’importance des prestations sociales — assurances chômage, santé et vieillesse.

Puis une autre divine surprise apparut aux capitalistes avec la fin du « communisme », qui fut la possibilité de délocaliser les productions vers ces anciens pays dits « communistes » où les salaires étaient très bas, les syndicats et les avantages sociaux inexistants. Ces pays se sont livrés à une concurrence acharnée en dumping social, offrant leur classe ouvrière sur un plateau d’argent à l’exploitation capitaliste occidentale la plus vive — la Chine remportant la timbale dans ce jeu du moins-disant social.

Ainsi la production de marchandises put reprendre de plus belle, la BTTP ayant été provisoirement endormie par des salaires de misère, mais en Chine.

Au fur et à mesure des délocalisations vers les nouveaux paradis salariaux, les producteurs, particulièrement occidentaux, disparaissaient en se noyant dans une paupérisation devenue aussi vive que Marx l’avait prévu — le phénomène n'ayant été que retardé de quelques décennies.

Cependant, la Chine, devenue le pays du capitalisme sauvage par excellence, ne pouvait que constater ce phénomène inexorable — celui de la fameuse BTTP. Alors, pour elle aussi venait le temps des délocalisations, au Vietnam, en Thaïlande, puis enfin en Afrique, où se trouve la dernière masse de main d’œuvre taillable et corvéable à merci.

Pour les capitalistes, l’investissement dans l’industrie était devenu, dès la fin des années 80 du siècle dernier, une aventure peu rentable, et refiler la « patate chaude » aux Chinois était une bonne idée.

Depuis la fin des trente glorieuses — la fin de la période industrielle en Occident — la réponse du capital face à la BTTP, fut la financiarisation, c’est-à-dire la spéculation financière, assortie à une réduction des investissements industriels : faire de l’argent avec de l’argent devenait la nouvelle tactique du capital. Le capitalisme changea de visage : il n’était plus industriel, mais devenait exclusivement financier.

La dette : une exploitation rentable face à la BTTP, mais avec des limites.

Lire : http://www.alain-benajam.com/article-l-arnaque-de-la-dette-et-l-escroquerie-politicienne-105610573.html

Par un mécanisme complexe, exposé dans l’article pré-cité, l’exploitation de la dette explosive des états anciennement riches et considérés comme solvables, est devenue, dès la fin du siècle dernier et jusqu’à ce jour, l’investissement le plus rentable du capitalisme mondialisé  — bien plus rentable que l’industrie, abandonnée aux pays émergents.

Mais cette rentabilité possède des limites : celles de la solvabilité des endettés. Quand les dettes jugées solvables par les instituts de notation, c’est-à-dire quand l’industrie de l’état endetté créé encore de la richesse, cela peut fonctionner, mais attention, ce système peut s’effondrer aisément, comme nous l’avons vu en 2008, à partir du moment où certaines dettes deviennent insolvables.  

Lorsque les délocalisations et la paupérisation des nations réduisent leur capacité à consommer, leurs dettes ne valent plus rien.

C’est l’effondrement complet du système qui se profile donc avec l’effet BTTP, entraînant la paupérisation et donc l'écroulement de la valeur des dettes.

L’exploitation de la dette des nations historiquement riches ne peut pas fonctionner très longtemps. Il faut donc trouver une autre solution.

Le mondialisme, stade ultime du capitalisme.

Lénine fut l'auteur, au début du 20ème siècle, d'un ouvrage célèbre : « L’impérialisme, stade suprême du capitalisme ». L’impérialisme — en tant que stade suprême — a duré un bon siècle. Il perdure encore ici ou là, mais il ne rapporte plus autant qu'auparavant. La BTTP ayant effectué son œuvre destructrice parmi les nations impérialistes, le stade ultime du capitalisme est dorénavant le mondialisme.

La phase impérialiste dénoncée par Lénine en son temps s’était caractérisée par deux phénomènes précurseurs de la mondialisation : d’une part la financiarisation complète et maintenant achevée du capital, et d’autre part sa concentration monopolistique entre les mains d’une très petite poignée d’actionnaires et de décideurs. Dans les pays occidentaux, l’industrie est également devenue une activité marginale, abandonnées aux PME, qui elles-mêmes sont exploitées à cause des contraintes liées au remboursement de la dette.

La contradiction principale d'autrefois, entre le capital et le travail, s'est modifiée. Elle ne réside plus désormais entre les producteurs et les propriétaires des moyens de production, mais entre, d'un côté le grand capital mondialisé, et de l'autre, les peuples et les nations.

La poignée de capitalistes véritables, ne possédant plus d’usines, mais spéculant dans leurs salles de marché, sur les « commodities » (matières premières), a trouvé une faille dans le système, permettant de fabriquer plus d’argent, tout en restant incognito et libre de toute imposition. Cette nouvelle combine fonctionne à l'aide des fondations dites « philanthropiques », envers qui il est possible d'effectuer des dons anonymes mais déductibles des impôts. Tous les magnats de la haute finance, comme Soros, Gates ou Rothschild, en possèdent, ce qui n’empêche nullement ces fondations d’investir dans des secteurs rentables. Ces fondations sont en plus de magnifiques lessiveuses d’argent sale. L’investissement dans une salle de marché nécessite une mise de fond minimale d’au moins 100 Millions de Dollars, ce qui limite radicalement le nombre d'élus pouvant y participer.

 À ce sujet, voir l’excellent documentaire néerlandais :

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Monopole:3?fbclid=IwAR0AV5GuoQnraVujnsST7MqdnlX2oDbkF3g9UL6wx7OAvKAdhkBy8o1KDuI

Dans ce documentaire nous voyons que peu, très peu de monde dirige le capitalisme devenu mondialiste, et que ces individus sont tous issus de familles toutes très riches et très influentes depuis pratiquement le 17ème siècle — soit depuis bientôt 400 ans. La famille Rothschild en est l'exemple caricatural.

Les nations souveraines, avec chacune leurs frontières et leurs lois spécifiques, et pour certaines — comme la France — avec des lois sociales gagnées de haute lutte par les producteurs — sont autant d’obstacles à la libre circulation des capitaux. Pour que la spéculation financière puisse être efficace, les capitaux doivent pouvoir se déplacer rapidement, ici et là, vers les secteurs les plus rentables, car  comme cette rentabilité est volatile et instable, gagner un jour et perdre le lendemain est le lot de tels investissements spéculatifs. En plus, la rentabilité d’un investissement peut fortement varier d’un état à un autre. Pour le capitalisme, l’existence d’une multiplicité d’états-nations est devenu un obstacle de plus en plus sérieux à une bonne rentabilité financière.

C'est ainsi que le groupe des oligarques les plus riches de la planète — celui ne prospérant que grâce à la spéculation — décida d’essayer de promouvoir une "gouvernance mondiale", pour reprendre leur propre terme, mais aussi d’aplanir et d'uniformiser les condition légales existant dans chaque état, et surtout de faire pression sur les salaires, car les écarts sont jugés trop importants entre les pays anciennement riches et les pays toujours pauvres. Les Occidentaux gagnent trop, et les Français possèdent trop de lois sociales. Leur objectif est d’aplanir et d'uniformiser tout cela — par le bas évidemment.

L’action en faveur d’une gouvernance mondiale n’est pas simple à mettre en œuvre, car les anciens peuples européens, chargés d'histoire, tiennent à leurs nations. C’est donc un travail de longue haleine qu’a entrepris cette oligarchie depuis la deuxième moitié du XXè siècle.

La première phase consista à tenter d'effacer la souveraineté des nations européennes, pour les placer sous une égide anglo-saxonne. C'est une phase qui pouvait être qualifiée d'impérialiste, avant de devenir mondialiste à l'époque actuelle. Cette phase étant maintenant achevée, permet d’envisager la prochaine étape vers une mondialisation encore plus grande.

Pour avancer vers une gouvernance mondiale, l’acquiescement des peuples est nécessaire. Depuis 50 ans une idéologie dominante planétaire est assénée perpétuellement par les médias, afin de promouvoir la nécessité pour les Terriens d’avoir une gouvernance mondiale. On se demande qui exercerait une telle gouvernance. Pas même un simulacre de démocratie n'est proposée en ce sens, pas même une assemblée croupion, pas même une marionnette n’est avancée par l’oligarchie mondialiste, pour assurer une telle gouvernance. La démocratie, ou la république, sont des obstacles à la rentabilité financière.  Elles ont d’ailleurs été vidées de leur sens, partout où elles semblaient exister.

Le lieu où l’on peut avoir une idée des objectifs de la petite poignée de capitalistes qui se partagent le gâteau mondial est le Forum Economique Mondial de Davos ou WEF — World Economic Forum en anglais. Ce Forum fut fondé par Klaus Schwab, un des hommes les plus influents de la planète. On trouve toutes les grandes fondations « philanthropiques » représentées à ce forum, du WWF à la Fondation Clinton, jusqu'à la Fondation Bill et Melinda Gates.

On peut alors discerner les thèmes promotionnels de la mise en place de cette gouvernance.

La totalité de ces thèmes est évoquée pour susciter la peur et réclamer des restrictions de libertés, plus de contrôle sur les citoyens, et surtout moins de consommation et donc moins de revenus.

Le terrorisme

Suite aux attentats sous faux drapeau du 11 septembre 2001, la peur du « terrorisme islamique » fut inoculée. Ce terrorisme islamique fut maintes fois organisé par les mêmes services spéciaux, je ne reviendrai pas sur l’énorme quantité d’incohérences dans les narrations, à chaque fois qu’un acte de « terrorisme islamique » est évoqué, dans le but de perpétuer cette guerre sans fin (évidemment fictive) contre le terrorisme.

Le réchauffement climatique anthropique (dû à l’homme).

Les usines avec leurs ouvriers et leur BTTP étant devenus des obstacles à l’accumulation du capital, il convient de les déconsidérer. Il faudrait rédiger un livre immense pour illustrer ce thème particulièrement anxiogène, matraqué par une propagande omnipotente. Bien évidemment, aucune preuve réellement scientifique ne démontre un quelconque effet de serre dû au gaz carbonique. L’étude des carottes glacières démontre plutôt que la terre a connu dans sa longue histoires des variations climatiques cycliques et des taux de gaz carbonique variables bien avant la révolution industrielle. On peut se référer au cycle de Milancovic sur la variation de l’angle de l’axe de rotation de la Terre, qui induit d’importantes modifications climatiques. De plus, en déconsidérant l’industrie traditionnelle soumise à une forte concurrence, donc à une pression de la BTTP importante, on espère créer d’autres industries dont la propagande prétend qu’elles seraient moins polluantes, comme la voiture électrique. On espère obtenir ainsi une remise à zéro de la BTTP, avec ce que Marx appelait la plus-value extra, phénomène connu, selon lequel la valeur d'une marchandise nouvellement arrivée sur le marché, n’étant pas encore soumise à la concurrence, reste élevée, jusqu'au jour où elle se trouvera, elle aussi, inexorablement soumise à la BTTP.

La pandémie virale,

 là aussi les contradictions entre les narrations sont particulièrement flagrantes.

Au cours de cette « pandémie », nous voyons qu’une gouvernance mondiale est déjà à l’œuvre pour imposer des restrictions de liberté, sans aucun effet sanitaire réel, dans pratiquement tous les états de la planète. Cette « pandémie » est orchestrée par l’Organisation Mondiale de la Santé, entièrement sous la coupe de la fondation Bill et Melinda Gates qui en est le principal contributeur.

La propagande médiatique mondiale et uniforme assénant journellement les mêmes informations à la virgule prêt, est orchestrée par une organisation médiatique mondiale détenue par les grands noms du capitalisme mondial : elle s’appelle « Project Syndicate », créée par Georges Soros, c’est une super agence de presse imposant à chaque agence nationale la narration qui convient ; elle contribue à financer la totalité des médias mondiaux au travers de ses différentes tentacules.

https://www.project-syndicate.org/

Project Syndicate est une organisation médiatique internationale qui publie et diffuse des commentaires et des analyses sur une variété de sujets mondiaux importants. Tous les articles d'opinion sont publiés sur le site Web de Project Syndicate, mais sont également distribués à un large réseau de publications partenaires pour impression. En 2016, elle disposait d'un réseau de 459 médias dans 155 pays1Wikipedia

Project Syndicate est un membre éminent du Forum Economique Mondial.

Nous voyons que le capitalisme mondialisé ne pourrait fonctionner correctement sans la propagande appelé « Presse » par euphémisme.

Quel chemin peut prendre le capitalisme mondialisé

pour continuer à exploiter les humains ?

Y aura-t-il une suite à la phase ultime ?

La BTTP rend l’industrie non rentable et la Chine est en train d’en faire l’expérience. La spéculation financière sur la dette des états ne peut que s’effondrer et engendrer un crash financier dû à l’insolvabilité grandissante des endettés.

Il leur reste à endetter les Chinois, les seuls solvables aujourd’hui, mais cela ne sera guère facile et surtout ne sera que provisoire. Mais néanmoins, Black Rock — un des géants du capitalisme mondialisé — s’y essaye. La richesse de la Chine ne peut qu’attirer les convoitises, en dépit du fait que ce pays est dirigé par un Parti dit "Communiste". Cependant, le capital ne s’est jamais préoccupé ni encombré d’idéologies politiques.

Des cerveaux enfiévrés des oligarques du mondialisme a germé l’idée de ce qu’ils appellent le grand « reset », ou réinitialisation, c’est-à-dire une remise à zéro du processus engendrant la BTTP.

Cette idée fut évoquée au forum de Davos par Klaus Schwab, Georges Soros, Bill Gates et d'autres. Donald Trump s’y était vigoureusement opposé, et suite à son discours enflammé s’opposant aux visées criminelles de l’oligarchie mondialiste, son éviction de la présidence des USA fut effectuée grâce à un trucage grossier des élections US de 2020.

S’apercevant que l’on ne peut plus avancer, alors leur grande idée serait de repartir à zéro, de reculer en quelque sorte, de tout détruire pour ensuite tout reconstruire, mais en plus rentable sur le long terme. « Tout détruire pour tout reconstruire » retenez ce slogan : il fut répété par maints orateurs au Forum Economique Mondial : "Build back better."

L’exemple des booms économiques apparus après la dernière guerre mondiale et ses destructions a fait germer cette idée.

Un « big reset » est-il possible ?

Déjà, détruire l’économie mondiale qui malheureusement engendre inexorablement la BTTP, est pour cette oligarchie, un projet possible et faisable. Une guerre mondiale ne peut être envisageable, car le monde lui-même serait détruit, alors l’infestation de ce monde avec une suite de pandémies semble être la solution adoptée. L’effet mortel ce cette pandémie serait réellement engendrée non pas par le virus, mais par un produit qualifié de "vaccination", dont l’inoculation à tous les citoyens serait rendu obligatoire et promue par le « Project Syndicate » dans tous médias mondiaux.

La vaccination permet de cibler ceux qui devront être éliminés en épargnant les élites, vaccinée au sérum physiologique.

Ce projet mortifère s’accompagne en permanence d’une idéologie malthusienne, née au 19ème siècle avec la révolution industrielle en Angleterre, où la BTTP se faisait déjà sentir.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Malthusianisme

Thomas Malthus avait déjà trouvé la solution en son temps, grâce à un big reset qui devait entraîner une diminution importante de la population mondiale.

Nous voyons que le capitalisme arrive au terme de sa logique. Il retrouve son aspect le plus rude, celui qu'il avait à ses débuts, dérivant aujourd'hui vers un totalitarisme mondialisé. La possession des moyens de productions n’est plus l’apanage du grand capital. C'est pourquoi la propriété, fondement des révolutions bourgeoises, peut être abolie : il s'agit, encore une fois, d'un projet du Forum Economique Mondial de Davos.


Une égalité des revenus de bas niveau peut être imposée à une humanité dont le nombre est réduit : c’est le projet du revenu universel égalitaire, issu là encore du Forum Economic Mondial.

Une robotisation à outrance de ce qui pourrait rester de production, mettrait les quelques usines restantes à l’abri des grèves, et supprimerait définitivement la classe ouvrière.

Enfin, la submersion migratoire mettrait fin aux revendications nationales, un des pires obstacles à la mondialisation et au « big reset ».

Déjà Roger Garaudy — figure philosophique importante du PCF des années 70 du siècle dernier — avait prédit que le capitalisme allait se transformer lui-même en socialisme à la soviétique. C’était une prémonition qui a provoqué son exclusion du PCF.


Un autre économiste du PCF — Phillipe Herzog — avait également prédit que ce qu’il appelait justement dans ces mêmes années le Capitalisme Monopolistique d’État, pourrait tendre vers une forme de socialisme.

Nous ne pouvons que constater que certaines idéologies de gauche — surtout d’obédience trotskyste — ne sont plus en contradiction avec le néo-capitalisme, celui-ci étant devenu écologiste, égalitaire de bas niveau, opposé à la propriété, philanthropique, adversaire des nations, des états-nations et des frontières.

Cependant, cette idéologie gauchiste du capitalisme socialisant et totalitaire, avec son action mortifère, peut-elle être contrée ?

Oui, heureusement, car comme je l’ai souvent écrit, le paradigme d’organisation des humains a changé, la pratique de réseaux — que cela soit dans les entreprises ou dans la vie, par l’usage de l’internet, modifie considérablement la perception du monde des humains.


Les informations véritables circulent horizontalement, en dehors du « Project Syndicate ». Le projet criminel des élites est maintenant connu par un nombre de plus en plus important d’individus, et les mensonges perpétuellement contrés, comme celui des attentats du 11 septembre 2001, du réchauffement climatique anthropique ou de la soi-disant pandémie nécessitant une « vaccination », dont on sait qu’elle peut s’avérer massivement mortelle à plus ou moins brève échéance.
Les manifestations spontanées historiquement très importantes pour la France en sont la preuve.
La résistance ne pourra que s’organiser et libérer le monde du totalitarisme mondialiste et mortifère, soyons-en certains.

Mais une nouvelle société, sans capitalisme ni baisse tendancielle du taux de profit, reste à inventer.

 

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